À partir de deux cas d’étude récents et partant de l’hypothèse que le chiffrage et la mesure des données constitue l’une des règles de la distribution de l’autorité dans le champ sanitaire, cette communication met en perspective deux des arènes de délibération dans lesquelles ces données ont été mobilisées, afin de reposer la question contemporaine de l’ouverture des données de santé dans le cadre cognitif et institutionnel qui la sous-tend.